Pour une stratégie bas carbone conçue
conjointement avec des pays d'Afrique
pour viser à la fois le développement et la
neutralité carbone d'ici 2070 de l'ensemble de nos pays.
Un
article
paru dans la Revue de l'énergie (novembre-décembre
2020)
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La France, l'Europe, le monde
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L'approvisionnement en énergie est un enjeu
stratégique.La politique de l'énergie relève donc
de la responsabilité des Etats.
Dans ce domaine, la concurrence n'est pas une concurrence
commerciale.
C'est une concurrence entre Etats, y compris entre Etats alliés
; y
compris entre Etats membres de l'Union européenne.
Les pays exportateurs de gaz ou de pétrole et les pays
autosuffisants
peuvent faire monter les prix et y ont intérêt. On voit
qu'ils snt
capables de s'entendre entre eux - OPEP et Russie et d'autres dans
OPEP+. Quelle serait l'attitude des Etats-Unis avec un président
tel que Trump ?
La France n'a pas de ressources naturelles fossiles ; elle dispose de
l'énergie
atomique, ce qui lui donne un avantage sur des pays qui ne peuvent pas
en disposer ou qui y ont renoncé. Les pressions sont très
fortes, pour
qu'elle y renonce. Ces pressions s'exercent sous des formes très
variées et trouvent en France même de nombreuses
complicités qui n'en
sont sans doute pas toutes conscientes.
La France s'est déjà beaucoup affaiblie car pendant vingt
ans, elle a
préféré dépenser des dizaines de milliards
d'euros pour installer des
éoliennes et des panneaux photovoltaïques fabriqués
ailleurs et elle
n'a pas construit sur son territoire de nouveaux réacteurs
nucléaires,
ce qui lui a fait perdre de son savoir-faire., ce dont les adversaire
du nuclaire tirent argument.
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L'Europe
Le
monde
Une stratégie bas carbone
conçue avec des pays d'Afrique /Le
grand jeu des pays producteurs de pétrole et de gaz à bas
coût / La
France et le nucléaire
dans le monde
Comment
faire une Europe de l'énergie ?
Un article paru dans la Jaune et la Rouge
de décembre 2020 : "les
politiques de l'énergie dans l'Union européenne"
Certainement pas
avec un
"marché unique de l'énergie". L'énergie est
une matière
stratégique et la situation est très différente
d'un Etat membre à
l'autre. Une Europe de l'énergie se fera donc en respectant la
souveraineté des Etats et en tenant compte des
différences. Ce sera sur
le mode de coopération qui ressemble aux accords de Schengen,
à Airbus ou
au mode de coopération créé
par le traité de Lisbonne
pour la défense et la fabrication d'armement, une
"coopération
structurée permanente" ou encore avec des "projets
importants d'intérêt commun" (qui peuvent recevoir des
aides publiques).
En se donnant UN objectif et non
pas de multiples objectifs. L'objectif est de diminuer les
émissions de CO2 ; il
n'est pas de diminuer la quantité d'énergie
consommée. Cet objectif en recouvre un autre, essentiel : la
sécurité d'approvsionnement. Dans l'Union
européenne, chaque Etat devrait s'engager sur des
émissions et être
libre de choisir les moyens de tenir ses objectifs. Les politiques
pourraient être très différentes d'un Etat à
l'autre. La politique des
"trois fois 20" (20 % de moins de CO2, 20 % de moins d'énergie
et 20 %
d'énergie renouvelable en 2020) avait deux "20" de trop. Ces
deux
"20" superflus sont des moyens, qui seront pertinents ou non selon les
pays ; si on les prend pour des buts, ils sont gênants.
En 2020, pour l'énergie, l'Union européenne vise plus de
dix objectifs parmi lesquels aucun n'est "secondaire" par rapport aux
autres comme l'explicité le réglement sur la gouverance
de ce que l'on appelle abusivement "l'union de l'énerge".
Le marché
européen des permis d'émettre
Il ne peut pas
donner de bons résultats si sa visibilité est
insuffisante et si les
entreprises ne sont pas protégées de la concurrence
d'entreprises qui
ne sont pas soumises aux mêmes contraintes. Et il exige,
évidemment, une bonne police - l'expérience l'a
démontré par l'absurde !
Voir
une "note brève" : les
politiques de l'énergie dans l'Union européenne :
une proposition : des coopérations comme en matière de
défense - octobre 2017
"L'électricité
dans l'Union européenne", intervention faite
à un colloque de Passage, le 16 février 2017
"Angela
Merkel a sonné le glas du marché unique de
l'énergie",
paru dans les Echos le 6 juin 2011,
à la suite de la décision allemande de ne pas produire
d'électricité nucléaire
les
coopérations structurées permanentes
"pour une
coopération européenne nouvelle entre Etats libres de
s'organiser" la Jaune et la Rouge novembre 2007.
"Pour
une
Europe des projets"
journal
le Monde, en décembre 1994
Dans "La
France,
économie, sécurité - économie
mondialisée, sécurité natinale, Union
européenne" Hachette 1994, accessible
ici.
le chapitre de ce livre qui traite du rôle de l'Etat et de l'Union
européenne en matière de sécurité, dont
la sécurité d'approvisionnement en énergie
dans ce chapitre, présentation
d'un cas qui relève de
l'énergie : le
cas Campus-oil.
Au sujet du marché européen des permis,
- les
permis de CO2 : la voie ouverte à de gigantesques
spéculations
- un
article ancien Marchés du CO2 : il y a mieux
à faire journal le Monde, 21 juin 2005
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Pour les lecteurs de la note
brève de décembre 2020
Pour une évaluation du coût du CO2
évité en Afrique par un réseau
photovoltaïque en zone rurale , on peut
voir ici à la page 25
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Pour une
stratégie bas carbone conçue conjointement avec des pays
d'Afrique
pour viser à la fois le développement et la
neutralité carbone d'ici 2070 de l'ensemble de nos pays.
Alors que le
CO2 ignore les frontières, vouloir être "neutre en
carbone" vingt ans avant les autres est absurde.
Pour pouvoir se dire
"neutre en carbone" dès 2050, la France se dit prête
à dépenser 15 à 20 milliards par an de plus
qu'avec une autre politique où ses émissions seraient
compensées, dans le cadre de coopérations avec des pays
d'Afrique, en évitant des émissions en quantité
égale. L'effet sur les émissions serait le même que
notre neutralité carbone. Les dépenses totales seraient
très inférieures et les bénéfices de la
coopération déborderaient très largement le cadre
de la lutte contre les émissions.
La prochaine Stratégie énergie-climat devrait donc
1- viser la
neutralité carbone en 2070
2- prévoir une
consommation d'électricité de 900 TWh
3-
prévoir 95 GW nucléaire et peu d'éolien et de
photovoltaïque
4- consacrer jusqu'à 5 milliards d'euros par
an ou davantage à contribuer au financement de production
d'électricité décarbonée dans le cadre
d'accords de coopération avec des pays d'Afrique :
photovoltaïque, réseaux locaux et batteries, production de
bois, puis nucléaire adapté aux besoins de ces
pays. Selon quelles modalités ?
: garantir les financements d'origine privée (propostion
de Lionel Zinsou) ; des accords bilatéraux dont l'objet
dépasse la production d'énergie ; ou des JETP, accords
multilatéraux portant seulement su l'énergie
Quatre "notes brèves"
(une page chacune), une conférence (le 20 octobre 2023) et trois
articles
Energie
: le temps est venu de décisions politique d'ampleur
20 septembre 2023
CO2
: notre
bel objectif de neutralité française dès 2050...
vu d'ailleurs juin 2022
Immigration,
neutralité carbone, développement, pouvoir d'achat,
efficacitré énergétique, une "note
brève" paru en décembre 2021
Que la France
propose à des pays d'Afrique une stratégie bas carbone
conjointe une "note brève" la veille de la
COP 26 de Glasgow.
Une
lettre signée en quelques jours par 300
polytechniciens, adressée au président de RTE en mars 2021 et présentée directement
à F. Bayrou, Haut commissiaire au Plan
Une conférence :
Comment
la France peut éviter plus efficacement des émissions
mondiales de CO2. Donner du sens à notre transition
énergétique en coopérant avec des pays africains.
Quatre
articles
Un article paru dans le Monde, cosigné avec un
député de Centrafrique : les énergies renouvelables au
service de l'Afrique.
Pour une
stratégie bas carbone menée conjointement avec des pays
africains dans la Revue de lénergie de
novembre-décembre 2020.
La
neutralité carbone sans trop de contraintes ni de dépenses
- dans la Revue de l'énergie de mai-juin 2021,
Revue Esprit de juin 2010 : la nouvelle
géopolitique du CO2
Et aussi
Le 1 er mars 2021 une lettre au Président de RTE signée
en quelques jours par 300 polytechniciens. Cette
lettre a été présentée
directement à F. Bayrou, alors Haut commissaire au Plan,
qui a été sensible en particulier aux perspectives de
coopération avec des pays du Sud pour lutter contre les
émissions de CO2, celles-ci ignorant
les frontières. Voir
cette lettre ici Cette lettre propose aussi de
réévaluer les prévisions de consommation en 2050,
d'étudier la possibilité de prolonger au-delà de
60 ans la durée de vie des réacteurs nucléaires
existants et aussi la possibilité que le "zéro
émissions nettes" soit atteint en 2065-2070, les
émissions autour de 2050 étant compensées par des
émissions évitées dans le cadre de
coopérations avec des pays pauvres pour contribuer à leur
développement avec un minimum d'émissions de CO2.
Financer dans des pays en développement des investissements qui évitent des
émissions de CO2
Pour le financement
d'infrastruture, garantir les financements d'origine
privée ? Des accords bilatéraux
entre la France et quelques pays d'Afrique ? Les JETP, Just
energy transition partnership, accords entre un pays en
développement d'une part et quelques pays ou groupes de pays
d'autre part ?
Demander aux institutions
multilatérales de garantir les investissements d'origine
privée
finançant les projets d'ampleur dans les pays pauvres
C'est une proposition de Lionel Zinsou, ancien premier ministre du
Bénin et cofondateur d'une société de services
financiers tournés vers
l'Afrique.
Il l'exprime au cours d'un entretien publié dans le journal La
Croix
(17 avril 2024). Il relève que "les Etats et les
institutions
multilatérales ne disposent pas des ressources suffisantes,
là où celles
des gestionnaires d'actifs, tels l'américain BlackRock ou le
français
Amundi, sont absolument gigantesques (...) tout comme le sont
celles
des philanthropes". Mais les acteurs privés
"considèrent que ces
investissements sur des projets d'ampleur, telles les infrastructures
d'énergie renouvelable, sont trop hasardeux dans des pays
où les
risques de non remboursement sont très importants - notés
triple C par
les agences de notation. Pour les encourager, il faut mettre en place
un
mécanisme afin d'assurer ce risque financier". "Les ressources
financières de la Banque mondiale et du FMI auraient ainsi un
impact
bien plus important qu'auourd'hui (...). Mais des réticences
demeurent,
car cela va à l'encontre de leur culture : ce sont des
organismes qui
ne recherchent pas le profit, à la différence des
gestionnaires
d'actifs. Or en protégeant ces derniers du risque, elles les
aident à
dégager du profit. Il va falloir dépasser ces objections".
Commentaire : pour le financement d'infrastuctures, garantir les
investissements d'origine privée contre les risques
d'impayé ou de non remboursement d'une dette présente
l'avantage que ces investissements vont diectement vers leur objet sans
passer par le budget de l'Etat ; de plus, cette méthode donne un
effet de levier aux fonds publics mobilisés pour apporter cette
garantie. Lionel Zinsou évalue cet effet de levier comme un
facteur 10. Même s'il est inférieur, cet effet de levier
est très utile.
Des accords bilatéraux
entre la France et quelques pays d'Afrique, dont la portée
s'étend au-delà de la production d'énergie
L'approvisionnement en énergie est une condition essentielle de
la sécurité du pays, de son fonctionnement, du
bien-être de la population, de sa place dans le monde, etc. La
politique de l'énergie relève donc de l'autorité
nationale. Elle supporte mal - ou pas du tout - d'être sous le
contrôle d'autres Etats ou d'institutions multilatérales.
Si la France se dit prête à contribuer au financement de
la politique énergétique d'un Etat d'Afrique ou
d'ailleurs, ce pourrait donc être dans le cadre d'accords de
partenariat bilatéraux qui débordent largement la
production d'énergie. Ils porteraient également sur les
moyens d'utiliser cette énergie pour le transport, la chaleur,
la climatisation où le froid, la mécanisation,
l'industrie, etc., et aussi sur la formation, l'enseignement, les
transferts de technologie, les échanges commerciaux, la
gouvernance. Et la mise en oeuvre de ces accords entre Etats qui se
font confiance n'aurait pas à se mettre sous le regard d'autres
pays ni d'associations qui se donnent comme rôle de "surveiller"
tout ce qui a un effet sur les émissions de CO2. Les relations
entre l'autorité politique nationale, les autorités
locales, les entreprises et ces autorités relèvent de la
responsabilit de ces Etats. La France pourra proposer son savoir-faire
avec la méthode de la DSP, Délégation de service
public, une méthod très flexible qui permet de s'adapter
à chaque situation locale, ces DSP décrivant les
obligations de chaque partie concernée. Elles pourront en
particulier préciser les modalités d'une garantie
financière apportée aux financements d'origine
privée.
Ces accords pourraient sans doute être assez simples. Par
exemple, la réalisation d'un nombre convenu de réseaux
photovoltaïques locaux avec une estimation forfataire et
conventionnelle des quantités d'émissions de CO2 ainsi
évitées.
J'ai montré ici que la
France, après avoir décidé de ne plus
émettre de CO2 en 2070, pourrait apporter plus de 5 milliards
d'euros par an à de telles coopérations pour
éviter en Afrique autour de 2050 autant d'émissions que
ce qui sera émis depuis le territoire français à
cette date.
Les
JETP, Just energy
transition partnership : accords limités à
l'énergie entre un pays "du Sud" et plusieurs pays "du Nord"
L'accord de Paris et le Pacte de Glasgow (signé à la COP
26 tenue à Glasgow en 2021) ont créé une
modalité de coopération entre des pays "du Nord" et des
pays en développement appelée Just energy transition
partnership, les JETP. A la fin de 2023, quatre
JETP avaient été conclus : avec l'Afrique du Sud, l'Indonésie,
le Vietnam, et le Sénégal.
Le premier a été
décidé à la COP26 et signé un an
après entre l'Afrique du Sud d'une part, la France,
l'Allemagne, le Royaume-Uni, les Etats-Unis et l'Union
européenne d'autre part, qui apporteront chacun dans un premier
temps 300 millions d'euros sous forme de prêts de politique
publique pour accompagner le pays dans sa trajectoire de
décarbonation, premier jalon d'une enveloppe totale de 8,5
milliards de dollars en cinq ans. L'objet de ce contrat porte surtout,
dans sa première étape, sur les conséquences
sociales de l'abandon progressif de la production de charbon.
En novembre 2022, un JETP a été conclu entre
l'Indonésie d'une part et tous les membrs du G7 d'aitre
part. Ce JETP devrait procurer 20 milliards d'euros pour que
l'Indonésie soit neutre en carbone dès 2050.
En décembre 2022, a été annoncé un JETP
entre le Vietnam d'une part, le Royaume Uni, les Etat-Unis, l'Union
européenne et le Japon d'autre part, qui doit procurer au
Vietnam 15,5 milliards de dollars dont moitié de financements
privés, le Vietnam s'engageant à diminuer ses
émissions à partir de 2030 pour les annuler
en 2050.
En juin 2023, lors du Sommet pour un
nouveau mode de financement tenu à Paris, un
contrat de JETP a été signé entre le
Sénégal d'une part, la France, l'Allemagne, l'Union
européenne, le Royaume-Uni et le Canada d'autre part. Il
prévoit, pour une période initiale de 3 à 5 ans
à partir de 2023, une somme de 2,5 milliards d'euros de
financements nouveaux et additionnels pour accélérer le
déploiement d'énergies renouvelables.
Les trois premiers JETP sont passés avec des pays qui consomment
beaucoup de charbon. Au contraire, le Sénégal qui,
aujourd'hui, consomme très peu d'énergie fossile a
prévu de consommer le gaz qu'il vient de découvrir sur
son territoire. Ce JETP pourra servir de référence
à de futurs contrats avec des pays qui consomment très
peu d'énergie fossile aujourd'hui et en auront besoin, produite
par eux-mêmes ou importée.
Les déclarations politiques annonçant des JETP sont
suivies d'une série de négociations complexes : la part
de subventions et de prêts, la combinasison de financements
privés et d'un apport public pouvant prendre la forme de
bonifications d'intérêt ou de garanties ; et aussi le mode
de gouvernance : comment seront prises les décisions.
Ces négociations risquent d'être d'autant plus complexes
que le nombre de partenaires est élevé, les parties
prenantes étant non seulement les instances publiques mais des
associations qui tiennent à dire leur mot à
l'échelle locale ou mondiale sur les politiques climatiques ;
elles voudront s'assurer de la transparence, de la façon dont
est associée la population, de l'équilibre entre hommes
et femmes, etc.
Un blog intéressant, signé de Papa Daouda Diene et Thomas
Scurfield commente le JETP du Sénégal ; il fait remarquer
fin juin 2023 que l'Afrique du Sud n'avait pas encore reçu le
premier dollar.
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Le grand
jeu des pays producteurs de pétrole et de gaz et des pays
consommateurs
Les
enjeux stratégiques
Prix du pétrole, une arme pour les Etats-Unis : Un article
paru dans le Monde du 2 février 2017.
Deux "notes brèves" de début 2017
Comment
comprendre le jeu
récent de l’Arabie saoudite et de l’OPEP
Le jeu des pays
exportateurs, des pays
importateurs et des pays autosuffisants ;
que feront les Etats-Unis ?
"La nouvelle
géopolique du
carbone" - revue Esprit de juin 2010 - avec
un résumé ici
Voir aussi des extraits du chapitre 9
de Trop de
pétrole
! (Seuil, 2007) sur une gouvernance
mondiale
: utiliser l'OMC ou, à défaut passer des accords entre
Etats ou, à défaut, des accords entre entreprises d'un
même secteur avec une protection des Etats. Voir aussi, le
chapitre 9 de Moins
de CO2 pour pas trop cher. (2013)
Prix du
pétrole et coût du CO2 dans les pays consommateurs
Une note brève Le coût du CO2,
le prix du CO2
– 10 € ou 200 € par tonne ! De quoi s’agit-il ?
un
article
paru dans la Revue de l'énergie en avril 2016
Ce que le
nucléaire
peut apporter au monde dans sa lutte contre les émissions
de CO2 :
un article paru dans
International journal of global energy issues en 2017 : voir
ici
Plus ancien
- Quelles seront les
négociations
efficaces, pour éviter un réchauffement climatique ?
- "Trop de pétrole !",
notamment son dernier chapitre "au-delà de Kyoto"
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