Ce site est un site vivant qui se met à jour et qui bénéficie des remarques qui me sont faites retour à la
page d'accueil En
septembre 2024 : l'écran d'accueil a
été modifié pour mettre en exergue les quatre
sujets sur lesquels ce site internet propose un éclairage
différent de ce qui se dit le plus souvent : reporter la date de
neutralité carbone à 2070 et éviter des
émissions de CO2 là où c'est le moins
coûteux ; des outils pour pouvoir comprendre et critiquer ce que
l'on nous répète ; le coût de l'hydrogène
produit pas électrolyse ; les moyens de la politique
publique. On a ajouté deux
notes brèves récentes dont "le devoir de
vérité". En
juin 2024 : une notice présentant une nouvelle
version du simulateur du système électrique : SimelSP4 simule
aussi le fonctionnement du marché de l'électricité
: le prix de l'électricité heure par heure, le
résultat économique de chaque moyen de production et de
stockage, le prix moyen, le coût moyen sur une année. En mai 2024 : une nouvelle note brève : Pour une politique de l'énergie qui recueille confiance et adhésion En avril 2024 : La page monde a
été complétée pour aborder la question du
financement des investissements dans des pays pauvres notés
triple C par les agences de notation : la nouvelleprocédure des
JETP, joint energy transition partnership, qui associent un pays en
développement et plusieurs pays qui lui apportent une aide
; un entretien avec Lionel Zinsou, ancien premier ministre du
Bénin ; des coopérations bilatérales dont la
portée peut déborder le cas de l'énergie. En mars 2024 : La
notice technique de SimelSP3 a été relue et
légèrement modifiée. En janvier 2024 Une
nouvelle note brève : Une autre politique
de l’énergie : efficacité, simplicité et respect
de la liberté de chacun. Voir ici toutes les notes brèves. En décembre 2023 :
Commentaires sur le projet de Stratégie française
énergie climat, SFEC, et sur la Programmation pluriannuelle de
l'énergie, PPE et une nouvelle page, l'énergie
en 2035. En novembre 2023 : Au
sujet de l'hydrogène deux
études : 1- une analyse du
coût de production d'hydrogène par
électrolyse ; c'est une reprise complétée de
l'étude publiée en mai. Le coût de
l'hydrogène est la
différence
de dépenses totales de deux systèmes
intégrés de production d'électricité et
d'hydrogène avec la même consommation finale
d'électricité et plus ou moins de production
d'hydrogène. Le résultat dépend des
autres utilisations possibles de l'électricité, parmi
lesquelles la chaleur, et aussi du parc de production et de la
façon dont sa capacité est modifiée.
2- Une étude qui calcule le total
des dépenses pour répondre
à une demande d'électricité, d'hydrogène et
de chaleur avec une production d'hydrogène et de chaleur
à partir d'électricité ou d'autres sources. Entre
autres résultats, cela permet de voir dans quelles conditions il
est utile de produire de l'hydrogène à partir de
l'électricité du réseau, et de mesurer le service
rendu par la production de chaleur. Voir la
page hydrogène En octobre 2023 : Un nouveau document sur le sujet qui me paraît le plus important aujourd'hui : une coopération avec quelques pays africains permettra d'éviter plus d'émissions qu'une politique solitaire. Même si les émissions évitées sont peu de chose à l'échelle mondiale, du moins, par cette coopération, aurons-nous contribué au développement de ces pays. Une conférence à Grenoble : donner du sens à la transition énergétique En septembre 2023 : Le
programme de transition énergétique préparé
d'une part est très coûteux. Une "nouvelle note
brève" Energie
: le temps est venu de décisions politiques d'ampleur
propose une autre approche qui d'une part est beaucoup moions
coûteuse et d'autre part s'inscrit dans un vrai projet politique
comportant un volet diplomatique très consistant - ce
qui n'est pas pour surprendre si l'on voit que le CO2 ignore
les frontières. En juillet 2023 : la
page sur la
prospective de l'électricité (2050-2070) a
été remaniée pour plus de clarté. Notre
"scénario de référence" tient compte des besoins
exprimés par le transport maritime et le transport
aérien. Il suppose que la production d'hydrogène est de 3
millions de tonnes par an et que la consommation totale
d'électricité (avant les pertes en ligne) est 930 TWh.
Une note de commentaires montre comment a été construit
le parc de production et de stockage d'électricité et de
production d'hydrogène. En juin 2023: une
réflexion sur la
sobriété : un article paru dans la Revue des
ingénieurs des ponts, de l'agriculture et des forêts
: les injonctions
à la sobriété (une belle vertu) et les
défauts de la poilitique de l'énergie. Une note
brève : Climat
: des buts pouvant enthousiasmer la jeunesse
En mai 2023: la
notice technique du simulateur SimelSP3 a été
complétée pour décrire
comment il calcule le coût de production de
l'hydrogène : ou bien à
partir des fraix fixes de l'électrolyse et du coût
payé pour l'électricité, ou bien comme la différence
de dépenses totales de deux systèmes
intégrés de production d'électricité et
d'hydrogène avec la même consommation finale
d'électricité et plus ou moins de production
d'hydrogène. Attention ! Cette méthode appremment "de bon
sens" peut donner des résultats fallacieux. En mars 2023:
un cadrage pour élaborer des scénarios de production et consommation d'électricité en
2035 : une réponse
à la consultation faite par RTE En février 2023
: une étude a été ajoutée, qui évalue le coût
pour l'économie française de l'intégration des
marchés de l'électricité. Elle compare deux
marchés autonomes de type français et allemand à
un marché unifié, calcule le prix payé par les
consommateurs, les bénéfices des producteurs, notamment
le producteur d'électricité nucléaire et en
déduit le coût ou l'avantage pour chaque pays du
marché unifié comparé à deux marchés
autonomes. En janvier 2023
: la page sur la politique de
l'électricité a été
légèrement modifiée, en relation avec le
débat qui s'ouvre sur le marché de
l'électricité. En décembre 2022 :
Une page a été ajoutée : "avons-nous réellement besoin
d'éoliennes sur terre ?" ; une note brève a
été diffusée début janvier 2023. Quelques
améliorations ont
été apportées au
simulateur SimelSP3, en particulier pour calculer les variations en une
heure de la production nucléaire en respectant les limites de la
flexibilité de cette production et pour mesurer le niveau de
flexibilité demandé à l'électrolyse (un
point dont on ne saurait trop souligner l'importance). La version
antérieure SimelSP2 a été retirée. La notice
présentant SimelSP3 et la façon de l'utiliser a
été revue et sa présentation rendue - on
l'espère - plus lisible. En octobre 2022: Quelques
modifications ont été apportées au logiciel SimelSP3,,
sans effets significatifs sur les résultats. Entre autres
choses, l'utilisateur introduit séparément les
données relatives aux Steps d'une part, aux possibilités
de modulation de la production hydraulique, d'autre part. En juillet 2022:
une nouvelle "note brève" et une
nouvelle page sur un thème absent du débat public et
qui me paraît pourtant essentiel : le CO2 ignore les frontières
; donc, vouloir être "neutre en carbone" vingt ans avant les
autres n'est certainement pas la méthode la plus efficace. Pour
la France, c'est encore plus stupide car cela ne nous laise pas le
temps de reconstituer un parc nucléaire qui nous permettrait
d'atteindre la neutralité carbone en dépensant beaucoup
moins en producton et conomie d'énergie. En février 2022 :
Des
commentaires sur le programme de
production d'électricité annoncé à
Belfort par le Président de la République le 10
février 2022 ; et une note
brève sur le même sujet. Quelques améliorations
du logiciel SimelSP2 pour une étude plus fine des
conséquences du fait que la flexibilité du
nucléaire est limitée et pour évaluer les
besoins de stockage de l'hydrogène produit sur excédents. En janvier 2022 : On
oublie trop souvent que le véritable objectif de
neutralité carbone est à l'échelle mondiale.
D'utre part, il ne faudrait pas oublier qu'il existe d'autres
objectifs, à l'échelle mondiale. Or notre politique
de neutralité carbone dès
2050 oublie l'un et l'autre. C'est l'objet de cette note
brève : immigration,
développement, neutralité carbone . En décembre 2021 :
sur la prospective de
l'électricité, on a encore simplifié : une
hypothèse de consommation d'électricité 900 TWh/an
avant les pertes en ligne ; deux hypothèses sur la consommation
nucléaire : 70 GW et 94 GW. L'article paru dans la Revue
de l'énergie en juin 2021, la neutralité
carbone sans trop de contraintes ni de dépenses,
étudie des hypothèses légèrement
différentes dont une qui entre dans le cadre d'une
stratégie bas carbone menée conjointement avec quelques
pays d'Afrique. En
octobre 2021 : . En
juillet 2021 : En
juin 2021 : Une page a été ouverte au
sujet de l'hydrogène. La simulation de l'ensemble du
système énergétique (biomasse,
électricité, chaleur, hydrogène, biocarburant,
etc.) montre que l'hydrogène sera nécessaire ou utile
dans l'industrie et le transport lourd et pour produire du biocarburant
et du biofioul.. Plusieurs jeux d'hypothèses avec 30 GW
nucléaire ou seulement 50 GW d'éolien et de
photovoltaïque sont présentés et comparés. La
simulation permet de distinguer une production d'hydrogène
à partir des excédents de production
d'électricité et une autre à partir du
réseau. L'hypothèse d'un stockage de chaleur est
introduite. Voir ici la page
"hydrogène". En
mai 2021 : Une page a été ouverte
à propos du secteur du transport
avec notamment une réflexion sur les véhicules
électriques, les véhicules hybrides rechargeables, la
production de biocarburant avec ou sans apport d'hydrogène, les
besoins de batteries : un exemple des interactions entre les
composantes du système de l'énergie et une note brève sur le
sujet. Et une page de prospective
sur l'énergie prenant en compte l'ensemble du système
avec le tableau croisé des consommations d'énergie en
2070 et 2050 et la production d'électricité. En
avril 2021 : La feuille de calcul qui donne un tableau croisé de la
consommation d'énergie par secteur d'utilisation et pas
type d'énergie a été modifiée : les
véhicules peuvent consommer du carburant liquide, du
biogaz, de l'hydrogène ou de l'électricité ; les
progrès d'efficacité des moteurs thermiques et
électriques sont différenciés, la
consommation d'électricité pour produire du biocarburant
et de l'hydrogène est calculée. Une note
brève : Prospective de
l'électricité : aidons RTE à se libérer du
carcan qui lui est imposé En
janvier 2021 : l'étude
de l'ADEME et de RTE sur la consommation
d'électricité pour le chauffage des bâtiments
confirme que la loi qui a fondé la SNBC (stratégie
nationale bas carbone) s'appuie sur une étude d'impact
fallacieuse. Il faut une autre SNBC En
décembre 2020 : une étude sur l'effet du nucléaire sur les
émissions mondiales d'ici 2100, en se basant sur les
scénarios de Message et sur une étude du Gisoc. Une
note brève rappelle que le monde aura besoin de
réacteurs de quatrième génération. L'arrêt du
programme de recherche Astrid est une faute. En
juin 2020 : la
pression se fait plus forte pour financer ou rendre obligatoires des
dépenses d'économie d'énergie dans le
bâtiment quoi qu'il en coûte. Or ce serait ruineux.
Avec l'accord de la revue, on publie ici l'article
paru dans le numéro de mai-juin 2019 de La Revue de
l'énergie , un des rares, à ma connaissance,
où sont présentées de nombreuses hypothèses
y compris celle de conserver les chaudières existantes et de les
compléter par une pompe à chaleur de faible
capacité, donc beaucoup moins chère. En avril 2020 : le premier écran du simulateur simplifié du système électrique SimelSP a été revu pour en faciliter l'usage : les cases où se trouvent les données entrées par l'utilisateur et les résultats des calculs sont bien différenciées par leur couleur ; les plus importantes sont distinctes : douze entrées et dix résultats. On a ajouté le coût de l'hydrogène produit avec les possibilités de production d'électricité excédentaires. Une version légèrement modifiée et complétée de l'étude prospective 2050 avec 50 % de nucléaire ou plus ou moins. Cette étude est également publiée sur le site de Sauvons le climat. En
mars 2020 : on a mis sur ce site deux notes brèves sur
l'hypothèse d'une production électrique sans
nucléaire ni CO2, hypothèse que RTE doit étudier
à la demande expresse de la ministre. Par ailleurs, est
publiée une nouvelle
étude prospective pour compléter ce que nous
prépare RTE : les quantités livrées à la
consommation finale sont, avant les pertes en ligne de 650 TWh
par an
(RTE fait l'hypothèse de 560 TWh), le nucléaire
fourit 50 % de la consommation ou plus ou moins. Parc de production et
de stockage, stabilité du réseau, effacements
définitifs, production d'hydrogène, dépenses. En
décembre 2019 : Après
la très décevante COP de décembre 2019, un
rappel de ce que l'on pouvait écrire il y a douze ans au
sujet de la gouvernance mondiale. Rien n'a changé. La lutte
contre les émissions passera par des accords entre Etats qui
vont bien
au-delà de la seule question des émissions et qui auront
la bénédiction de l'OMC. Voir ici des extraits du chapitre
9 de Trop de pétrole ! En
octobre 2019 : La
page d'accueil a été complétée par une
"en-tête" à l'attention des membres de la Convention
citoyenne sur le climat sur le thème : "ne vous contentez pas de
ce que l'on vous dit ; refaites vous-même le calcul des
dépenses de production et choisisses vous-mêmes les
hypothèses que vous souhaitez étudier sur la consommation
d'énergie et sur les moyens de produire
l'électricité ; des outils sont à votre
disposition". Par ailleurs, l'outil de simulation du système
électrique simule exactement ce qui devra être fait pour
préserver la stabilité du réseau électrique
s'il y a peu de nucléaire. La page donnant quelques
résultats a été revue. En
juin 2019 : Le projet de SNBC (stratégie
nationale bas carbone) du gouvernement suppose une diminution de la
consommation d'énergie par l'industrie comprise entre 25 et 30
%. Cela paraît très excessif. D'autre part le projet de
diminution de la consommation pour le chauffage des logements existants
est inutilement coûeux. On propose donc un contre-projet
où la consommation d'énergie par l'industrie de 10 % et
où les émissions de CO2 des logements sont
évitées au moindre coût. Les
dépenes seraient inférieures de 35 milliards d'euros par
an à celles du scénario du gouverement. On
publie donc deux tableaux cohérents où les
émissions dues à la consommation d'énergie sont
très faibles. Voir ici le
contre-projet de SNBC. En avril et mai 2019 : une nouvelle "note brève" au sujet du projet de SNBC du gouvernement ; présentation d'un contre-projet avec plus de consommation d'électricité pour le chauffage. . Par ailleurs , le simulateur de production d'électricité indique maintenant comment répondre à la demande lorsque nucléaire, éolien, photovoltaïqu et hydraulique n'y suffisent pas . On recourt alors par ordre de prioriété au déstockage et au déplacement de consommation,, à la biomase, aux CCG à l'effacement définitif et aux moyens de production de pointe Le
10 janvier 2019 : la
page "chaleur" a été
complétée par une réflexion sur le
coût de la rénovation thermique des logements
existants. Une étude est en cours. On publie ici les
hypothèses de coût. Il semblerait qu'il soit inutile de
faire des dépenses pour diminuer la consommation
d'énergie en deçà de 150 kWh/m2/an dans les cas
des maisons individuelles, de 110 kWh/m2/an dans le cas de logements
collectifs, sachant que les résultats sont très
différents selon les situations. Le 30 novembre 2018 : la page d'accueil a été modifiée pour saluer la création du "Haut conseil de la transition énergétique" et lui poser les questions que tout le monde se pose sans jusqu'ici avoir de réponses : jusqu'où monteront les prix du fioul, du gazole et du carburant ? Combien coûtent l'arrêt de Fessenheime et le "50% nucléaire" ? Pourquoi faire ces dépenses ? Que faire pour que nos efforts soient utiles au monde en général ? Le
7 novembre 2018 : une
analyse
heure par heure pour monrer ce qui se passe lorsque l'on remplace la
centrale de Fessenehim (1,7 GW) par des éliennes ou du
photovoltaïque de façon à ne pas augmenter les
émissions françaises de CO2 : il faut 7,5 GW
d'éoliennes ou 18 GW de photovoltaïque. L'augmentation des
dépenses est de 700 à 900 millions d'euros par an. Sait-on
que désormais la taxe CO2 va payer le remplacement du
nculéaire par des
éoliennes et du phtovoltaïque, ce qui n'a aucun effet sur
les émissions
de CO2. Une autre note brève qui présente un bilan du débat PPE : il manque
une étude indépendante sur les dépenses. Un
article paru dans le Monde en mai, cosigné avec J.P. Finon,
économiste : le 50%
nucléaire n'a aucune justification économique. Le
14 octobre 2018 : voici
un jeu d'hypothèses qui pourrait servir à ceux qui
élaborent la programmation pluriannuelle de l'énergie, la
PPE - à moins qu'ils ne la voient comme une provoca tion :-)
: un scénario "zéro émission de CO2 et pas
trop cher" sans
augmentation de la capacité éolienne et
photovoltaïque . Il suffit de 71 GW nucléaire. Voir
ici. Le
2 septembre 2018: on
publie l'article paru dans le
numéro de la Revue de l'énergie en janvier 2018 : "le
coût de la diminution de la capacité nucléaire".
Cet article a été publié, avec
l'accord de la revue, sur le site du débat sur la PPE,
programmation pluriannuelle de l'énergie. Le compte-rendu du
débat ne le mentionne même pas alors qu'il me paraît
fort important dans un débat de publier non seulemnet ses
conclusions mais aussi l'outil qui permet par lequel on les a
obtenus. Voir aussi ici des
précisions sur cet article. Le 15 juillet 2018 : un
avis publié sur le site du débat sur la PPE
montre pourquoi la décision de ramener le nucléaire
à 50 % de la consommation est affligeante ; c'est le
résultat d'une réflexion franchouillarde sans
perspective, qui ne prend pas en considération les enjeux
mondiaux ni la sécurité stratégique de notre
pays., la pression
migratoire, aide au développement, les émissoins
mondiales de CO2. Voir aussi une note brève sur
le même sujet. Et l'on a réordonné
et simplifié la
présentation des simulations faites pour répliquer
les scénarios de RTE (50% nuclaire ou moins) et un autre
scénario sans arrêter aucun réacteur nuclaire en
état de fonctionnement. L'article "le coût de moins de
CO2" paru dans la Revue de l'énegie de janvier février
2018 a été publié avec l'accord de la Revue
sur le site du débat sur la PPE. Le voici. Le 5
juillet 2018 : La
feuille de calcul simulant la
production et la consommation d'électricité a
été complétée pour pouvoir simuler
correctement une consommation d'électricité
effaçable définitivement ; ce sera le cas avec les
véhicules hybrides et ce pourrait être le cas en ajoutant
une résistance électrique ou une pompe à chaleur
à un chauffage au fioul ou au gaz existant. Le 21 juin 2018 : au cours du débat sur la PPE, l'ADEME persiste à affirmer que son scénario où l'électricité est produite à 80 % à patir d'énergie renouvelable ne coûte pas plus cher que si ele était produite à hauteur de 40 % par du nucléaire. J'ai recherché précisémen comment elle arrive à ce résultat : baisse de consommation, insuffisance de capacités de production de pointe, etc. Il y a une autre raison qu'il faut aller débusquer : le nucléiare nouveau coûterait aussi cher que l'EPR de Flamanville. Quand on veut tuer son chien... Avec des hypothèses raisonnables, 80 % renouvelable coûterait 17 milliards d'euros par an de plus que sans plus d'éolien et de photovoltaïque qu'aujourd'hui.. Et une nouvelle note brève fait le rapprochement entre les besoins d'électricité et les possibilités de production photovoltaïque en Afrique, la pression migratoire les milliards que la PPE nous feraient dépenser inutilement, quoi qu'en disent RTE et l'ADEME. Le 14 juin 2018 : une
nouvelle façon d'évaluer le surcoût des
scénarios de RTE comparé au maintien de la
capacité nucléaire. En fait, en utilisant la
méthode de calcul des coûts de RTE (le calcul en "cash")
la comparaison est extrêmement simple. Et le
résultat est imparable : en reprenant sans les discuter les
hypothèses de coût de RTE pour 2035, Volt obligerait
à dépenser 11 milliards d'euros de plus que le maintien
du nucléaire ; Ampère, 17 milliards d'euros par an de
plus. Voyez ici comment RTE volens nolens nous donne les
moyens de démontrer. que ses scénarios sont
très coûteux. Le 1er juin 2018 : une nouvelle page pour préciser une intervention dans le débat PPE : le "pas plus de 50 % nucléaire" obligerait à dépenser chaque année 8 milliards de plus que si l'on n'arrête pas prématurément les réacteurs nucléaires et si l'on n'augmente pas la capacité éolienne et photovoltaïque. Toutes les hypothèses et les principaux résultats sont présentés de sorte que tout le monde peut vérifier les calculs, les refaire et introduire ses propres hypothèses de capacité et de coût.. Le 2 avril 2018 : on
publie l'article "le
coût de
moins de CO2" paru dans le numéro de janvier-février
2018 de La Revue de l'énergie. On a relu et
complété la feuille de présnetation du
modèle de simulation. Voyez aussi la feuille ouverte à l'attention des lecteurs de la
Revue de l'énergie . Le 16 février 2018 : Une
nouvelle feuille est ouverte spécialement à l'attention des lecteurs de la
Revue de l'énergie qui publie dans son numéro de
janvier février 2018 un article "coût
de la diminution de la capacité nucléaire", qui
analyse pourquoi la diminution de la capacité nucléaire
entraînera une augmentation des dépenss de production et
de stockage d'électricité. Limiter le
nucléaire à 50 % de la consommation, c'est augmenter les
dépenses de 10 milliards d'euros par an environ. Au nom de quoi,
étant donné que la perspective de "sortir du
nucléaire" est irraliste comme le montre aussi l'article ? Cette
feuille complète l'article eu calculant ce que seraient les
dépenses si les coûts de production éolienne et
photovoltaïque
baissaient comme le suppose RTE dans un rapport récemment
publié. Le 29 janvier 2018 : Le
modèle de simulation de production et de consommation
d'électricité a été complété
pour tenir compte des limites de capacités des lignes
d'interconnexion. Cela permet de voir immédiatement
l'utilité marginale d'une augmentation des
capacités. On peut
voir ici. Le 20 janvier 2018 : Le
débat sur l'avenir du nucléaire s'engage. Une
progrmmation pluriannuelle a été décidée
pour ce qui concerne les sources d'énergie renouvlables,
notamment éoliennes et photovoltaïque. Il faudra analyser
la relation entre capacités éolienne et
photovoltaïque, capacité de production à partir de
gaz et capacité nucléaire. On peut
représenter capacités et productions éolienne,
nucléaire et à partir de gaz par un
schéma. Le 22 décembre 2017 : Le modèle de simulation
de la production et de la consommation
d'électricité a été
légèrement modifié pour ternir compte du fait
qu'une partie de la production à partir d'énergie fossile
est en base, indépendante de la consommation et des autres
sources de production - alors que jusqu'ici, dans cette simulation, la
prodution à partir de gaz venait en complément, et dans
la mesure du nécessaire, des productions sans émission de
CO2. Après cette modification, les résultats de la
simulation sont encore plus proches de la réalité, d'une
part, des résultats d'autres simulations plus complexes,
d'autre part. Le 17 décembre 2017 : Le
programme de 30 GW photovoltaïque annoncé par le
président d'EDF, soit une possibilité de production de 36
TWh, coûterait au bas mot 2 milliards d'euros par an et
éviterait l'émission de 6,5 Millions de tonnes de CO2
sans construction de nouvelles éoliennes, ou seulement 2 ou 4
MtCO2 si l'on implante les capacités éoliennes
prévues par la programmation en cours. Ce programme
est coûteux et ne sert donc pratiquement à rien.
Le 24 octobre 2017 : on
parle de revoir le fonctionnement et, peut-être, le traité
sur l'Union européenne. Cela doit évidemment
concerner l'énergie. La rubrique qui en traite a
été complétée : une intervention lors d'un colloque de
Passages et une "note brève" : "l'Union européenne et les
politiques de l'énergie" : pour ce qui est de
l'énergie, une domaine qui relève de la
responsabilité de l'Etat, l'Union européenne
pourrait progresser avec des coopérations menées
sur le même mode qu'en matière de défense. Le 29 septembre 2017 : si
l'on tient compte d'une part des contraintes d'accès au
réseau des énergies intermittentes et d'autre part de
temps de décharge des moyens de stockage et du temps de
réponse pour obtenir un report de consommation, en cas de faible
capacité nucléaire on verra en même temps, par
moments, un excès global de production et un défaut
d'approvisionnement qui devra être comblé par des
déstockages ou une production à partir de gaz.
L'excès de production pourrait donc être stocké en
même temps que l'on déstockera. La nouvelle version de la feuille de
calcul permet de le simuler et d'en mesurer le coût.. Le 24 septembre 2017 : Comme
la musique d'une possible diminution drastique de la capacité
nucléaire se fait de plus insistante, il faut donner la primeur
à une simulation qui tient compte des difficultés
d'insertion sur
le réseau des
sources de production d'électricité intermittentes. C'est
donc à cette feuille de
calcul que ce site invite le visiteur à s'adresser. D'autre
part, la feuille "quelques
résultats" a été relue et simplifiée :
le coût de la PPE ; le coût de l'interdiction d'aller
au-delà de 63 GW nucléaire ; le coût du "pas plus
de 50 % nucléaire" ; le coût du "zéro
nucléaire", comparé au "zéro éolienne et
PV". Le 20 septembre 2017 : la feuille de calcul qui tient
compte des contraintes de réseau a été revue
et complétée d'une seconde page qui récapitule
l'ensemble des paramètres et des principaux résultats, ce
qui permet de les copier pour en garder la mémoire et
comparer aisément différents jeux
d'hypothèses. Le 2 septembre 2017 : la présentation de la feuille sur le calcul du coût de la production et du stockage d'électricité est améliorée de façon à être plus claire. Seule modification dans les calculs : le coefficient technique de disponibilité du nucléaire est modulable selon la saison. Le 17 juillet 2017 : une
nouvelle note brève : ce qu'il
faudrait dépenser en plus pour limiter à 50 % la place du
nucléaire dans notre consommation d
'électricité. Le 2 juillet 2017 : la
feuille sur le calcul du
coût de la production et du stockage d'électricité
est complétée. Dans tous les cas, la baisse de la
capacité
nucléaire se traduirait par un surcroît de dépenses
de plusieurs millards d'euros par an, jusqu'à 50 milliards
par an si l'on voulait sortir du nucléaire. Une nouvelle "note brève" montre ce que
sont les dépenses inutiles qui seraient rendues obligatoires
par la récente PPEr, programmation des
investissements de production d'électricité renouvelable. Le 15 juin 2017 : une
nouvelle "note brève" est
publiée ainsi qu'un article paru dans le journal le Monde du 20
mai : éolien
et photovoltaïque demeurent trop chers ; si la consommation
d'électricité augmente, produire de
l'électricité décarbonée sans
nucléaire coûterait 50 milliards par an de plus
qu'avec du nucléaire., comme on peut s'en rendre compte en
utilisant la feuille de calcul publiée
ici. Le 30 mai 2017 : la
feuille de calcul qui simule un parc de production
d'électricité a été améliorée
sur quelques points. En particulier elle distingue les batteries et les
Steps ; de plus elle est accompagnée d'une notice technique et
d'une note qui commente les rendements et les coûts tels
qu'ils sont publiés, sachant que l'utilisateur peut les modifier
facilement. Le 18 mai 2017 : On
nous parle beaucoup de développement de
l'électricité renouvelable, éolienne et
photovoltaïque. Comme elles sont coûteuses, à cause
de l'intermittence et du coût du stockage, elles n'auraient de
sens qu'avec la volonté de voir disparaître à plus
ou moins longue échéance le nucléaire. Pour cette
raison parmi d'autres, il est intéressant d'évaluer les dépenses
de production et de stockage d'électricité quel que soit
le parc de
production. Nous publions ici une feuille de calcul qui le permet ;
elle est sommaire mais ce qu'elle nous dit est fort instructif. Le 7 février 2017 : Au
sujet du prix du pétrole, il est difficile de faire des
prévisions. Mais on peut réfléchir à
l'intérêt des pays producteurs, des pays exportateurs et
de pays autonnomes en énergie. Les pays exportateurs ont
évidemment intérêt à une hausse de prix.
Maintenant que les Etats-Unis sont à peu près autonomes,
ils y ont intérêt aussi. Et l'Arabie Saoudite a
obligé les autres pays à bas coût de production
à se rendre compte in vivo
de l'intérêt qu'ils ont à s'entendre pour limiter
leur production. C'est l'objet de deux notes
brèves et d'un article paru
dans le Monde du 2 février 2017. Le 8 janvier 2017 : Il
est tentant de penser qu'un impôt CO2 à la consommation,
en faisant monter les prix, donc en faisant baisser la consommation,
aurait pour effet de faire baisser les prix mondiaux. Cela peut
être vrai tant que les pays producteurs à bas coût
ne se sont pas entendus pour diminuer leur production, faisant
augmenter les prix jusqu'à un niveau qui rendrait inutile un
impôt dans le pays de consommation. Voir ici une note qui analyse le
phénomène, à partir de données plausibles
mais non exactement réelles. Le 27 novembre 2016 : Le
débat sur le nucléaire déborde largement le champ
technique et économique. C'est dans cet esprit que j'ai
rédigé, en 2012, Avzc
le nucléaire - un choix raisonné et responsable .
On trouvera ici son dernier chapitre : "Au nom de quoi accepter
le risque nucléaire". Le 5 novembre 2016 : J'ai
eu récemment un débat avec de bons connaisseurs de
l'économie de l'énergie qui pensent qu'un impôt sur
la consommation d 'énergie fossile aura pour effet de faire
baisser le prix des énergies fossiles. C'est exact, mais
seulement à condition que les pays producteurs à bas
coût ne s'entendent pas entre eux. Or ils ont grand
intérêt à s'entendre ! J'ai essayé de
chiffrer cela à l'aide d'une simulation grossière : rien
que pour le pétrole, l'enjeu est, pour ces pays à bas
coût de production, de l'ordre de 1000 milliards d'euros par
an. Voici une note
présentant cette simulation et ses résultats.
Il n'est pas indifférent de voir la Russie et le
Vénézuéla se rapprocher de l'OPEP. Le 5 mai 2016 : quelques
lecteurs estiment que, selon les propositions de politique publique
présentées ici, l'Etat en ferait trop. Tout a contraire
la
philosophie qui inspire ces textes est de limiter le rôle de
l'Etat tout en en montrant le caractère essentiel . Cela avait
été exprimé dans Trop
de pétrole ! en une page
publiée ici. Quelle
politique de
l'électricité ? Aujourd'hui, la situation est
catastrophique : les prix ne permettent pas de financer les
investissements. La méthode la plus simple serait d'instituer un
"acheteur-vendeur unique"
d'électricité. Le 9 mars 2016 : j'ai
relu la présentation et les
commentaires sur Trop de
pétrole ! rédigés peu
après la sortie du livre en 2007. J'y ai apporté quelques
corrections ou précisions pour les mettre à jour. Mais je
ne suis pas mécontent de constater qu'il y a fort peu de choses
à changer ! Il y avait (presque) tout dans Top de pétrole ! :-)
J'ai relu aussi les commentaires
sur le Pacte écologique de N. Hulot. Ils me paraissent tout
à fait d'actualité. Le 7 février 2016 : une
nouvelle entrée : le
nucléaire. Elle donne les liens vers "qui ne veut pas
d'une augmentation de la capacité nucléaire", vers
le tableur qui permet à chacun de calculer le coût du
nucléaire, vers
Avec le nucléaire (Seuil,
2012), et vers "Au nom de quoi accepter le risque nucléaire",
qui est le dernier chapitre de Avec
le nucléaire : je le publie intégralement car le
débat sur le nucléaire ne se limite pas à des
considérations techniques ou économiques ; il invoque des
valeurs telles que la relation à la nature, la
sobriété, la démocratie ; or; sr le terrain des
valeurs, le nucléaire a de beaux arguments à faire
valoir. Le 15 janvier 2016 : un dossier sur prix et coût du
CO2. Il y avait déjà sur le site quelques notes
traitant du sujet. Mais, pour convaincre tous ceux (et ils sont
nombreux) pour qui il faut "donner un prix au CO2" que cette approche
est malcommode et ambiguë, il faut pousser l'analyse. Pour
orienter une politique, le coût du CO2 n'est pas un bon guide. Le
bon guide est le prix à la consommation de l'énergie
fossile. Par ailleurs, est publiée une étude
chiffrée sur la façon de financer
des investissements bas carbone, efficacement et sans effet
d'aubaine, à l'aide du produit d'un impôt sur le CO2:
résultat de plusieurs simulations. Le 07 janvier 2016 : une
"note brève" : quelques oubliés
de l'accord de Paris : le rôle des océans sur la
température, le rôle des pays exportateurs
d'énergie fossile sur le prix du CO2 et l'aide aux pays en
développement, le rôle de l'OMC pour rendre possibles des
marchés de CO2. Le 5 octobre 2015 : un
complément à la note "calculez
vous-même le coût du nucléaire" : combien
coûtera l'électricité produite par des
réacteurs en fonctionnement aujoud'hui dont la durée de
vie sera prolongée de 10 ou 20 ans à la suite
d'importants travaux de remise à niveau : pour les produire on
dépensera entre 35 et 45 €/MWh de plus que si l'on ne les
produisait pas.
Et cela sera valable dans les vingt à trente ans à venir.
Qu'on ne nous dise donc pas qu'il faudrait réduire la
capacité nucléaire au motif le protoype EPR de
Flamanville est
coûteux ! En avril 2015 : une
"note brève" sur le
financement des investissements "bas carbone". Cette note a
été publiée dans
le journal Le Monde le 16 avril
2015. Le 27 janvier 2015 : en
2014, la Cour des Comptes a mis à jour les calculs qu'elle
avait faits trois ans plus tôt pour évaluer le coût
du nucléaire. Elle a revu le coût de production par
les réacteurs existants en intégrant de nouvelles
prévisions de dépenses d'investissement et
une augmentation des dépenses de fonctionnement. Elle n'a
pas voulu calculer le coût de production par un EPR "de
série". Le tableur publié ici permet de calculer ce
coût. Le nouveau rapport de la Cour des comptes ne modifie pas
les hypothèses que je proposais. Ce tableur montre pourquoi le
coût pourrait être de 70 €/MWh si le coût de la
ressource fnancière est de 8 % en monnaie constante. Le 12 janvier 2015 : trois nouvelles "notes brèves"
: sur le chauffage hybride (qui, à mon avis, permettrait de ne
pas avoir besoin de nouvelles capacités de "stockage
d'électricité" ni de coûteux "réseaux
intelligents"), sur le projet de loi sur l'énergie
(où il suffirait de remplacer "économie d'énergie"
par "économie d'énergie fossile" et de supprimer tout
cotingentement de la capacité nucléaire, dont le projet
de loi ne donne aucune justification), et sur les négociations
sur le climat (où je fais deux propositions qui me paraissent de
bon sens et dont personne ne parle !). Le 18 décembre 2014 : une
version légèrement modifiée - et plus facile
à lire - de l'étude
sur le chauffage hybride. On a mis en annexe les résultats
de plusieurs jeux d'hypothèses. Pour que ce système se
développe, il
est nécessaire de donner à
l'électricité effaçable à l'initiative du
fournisseur un prix qui reflète les avantages qu'elle procure
à la gestion du système électrique ; le plus
simple serait d'ajouter une ligne au tarif Tempo. Le 27 octobre 2014 : une étude sur le chauffage
hybride,
électricité et fioul ou gaz montre qu'en combinant deux
formes d'énergie dont l'une se stocke et l'autre ne se stocke
pas, il est possible d'éviter les mointes de consommation, de
répondre aux fluctuations du vent et du soleil au moindre
coût sans avoir besoin de "stockage d'électricité"
ni de coûteux "smart grids". De plus, ce type de chauffage
permet de continuer d'utiliser chaudières au fioul ou au gaz
tant
qu'elles peuvent fonctionner. Ajoutons que la combinaison de
l'électricité et d'autres formes d'énergie permet
de produire de l'électricité de chauffage presque sans
émissions de CO2, contrairement à ce que l'on raconte
beaucoup trop souvent. Le 9 février 2014 : les douze "notes brèves" (un page
chacune) sur énergie et effet de serre ont été
complétées par une
synthèse - d'une page seulement, bien sûr ! Il se
peut que cette synthèse soit un peu elliptique ; alors merci de
se référer tout d'abord aux notes brèves puis
à Moins
de CO2 pour pas trop cher ou à Avec le nucléaire ou
encore à ce qui est écrit sur ce site - voyez ici une présentation organisée du
contenu du site ! Et n'hésitez pas à me faire part de vos questions
ou objections - elles m'ont déjà permis
d'améliorer ce qui est écrit sur ce site. Le 28 juin 2013 : maintenant
que le débat sur l'énergie touche à sa fin, la
page
d'accueil a été modifiée. On peut être
satisfait que la question des coûts soit enfin apparue. On a
entendu Mme Batho parler de compétitivité des entreprises
et de pouvoir d'achat des ménages. C'est nouveau ! Au Parlement
maintenant, et au gouvernement d'en tirer les conséquences !
Dans le même esprit, la page sur la chaleur dans les bâtiments
est complétée d'un calcul ultra-simple qui montre qu'avec
des pompes à chaleur branchées sur un chauffage central
au
fioul ou au gaz il est inutile de dépenser des fortunes pour
diminuer les pertes thermiques des bâtiments existants. Le 21 février 2013 : Sur la page d'accueil, est ajoutée une
adresse à tous ceux qui participent au débat sur la transition
énergétique. Je l'ai rédigée
après avoir lu la
circulaire de la ministre aux préfets. Cette circulaire
trace un cadre très étroit au débat, ce qui est
contradictoire avec l'idée même d'un débat sur
l'énergie. De plus, le ministre de l'environnement allemand
vient d'annoncer le coût du programme allemand, 1000 milliards
d'euros, ce qui valide (en ordre de grandeur) les estimations faites
ici du coût d'une diminution de la capacité
nucléaire. Le 9 février 2013 : le
tableur qui permet de calculer les dépenses de prodution,
de consommation et d'économie d'énergie dans le
bâtiment
a été modifié pour identifier le rôle des
pompes à chaleur. Les dépenses dépendent en effet
beaucoup du coût des PAC et de leur coefficent de performance, le
COP. Par ailleurs, le tableau croisé de ressources et emplois
d'énergie qui sert de référence sur ce site a
été très légèrement modifié.
Le tableur qui permet de dresser ces tableaux a en effet reçu
quelques modifications mineures : le rapport entre production et
consommation d'électricité a été
rabaissé de 1,15 à 1,12 (pour tenir compte du passage
à l'enrichissement de l'uranium par centrigugation) et il tient
compte (ce qui était oublié antérieurement) de la
consommation d'énergie pour produire du carburant. Le 20 janvier 2013 : pour
diviser les émissions de CO2 par trois, un lecteur m'a fait
remarquer qu'il pourrait être intéressant d'expliquer
comment j'ai fait passer mes hypothèses de capacité
nucléaire de 124 GW en 2007 à 94 GW en 2012 : un peu plus
d'isolation thermique, beaucoup plus de PAC donc plus de carburant
pétrolier et moins de biocarburant (dont la production, pour
utiliser complètement la biomasse, demande beaucoup
d'électricité). Voir
plus
de détails ici. N'hésitez pas à faire votre propre scénario ! Le 16 janvier 2013 ; Moins de CO2 pour pas trop cher est
disponible. On peut se le procurer
chez L'Harmattan,. J'ai ajouté à la
page des commentaires un résumé de l'annexe "des erreurs souvent
répétées" et de l'annexe qui synthétise les propositions.
Par ailleurs, j'ai corrigé une erreur de recopie dans le tableau
- au demeurant tout à fait irréaliste - qui suppose que
les émissions sont divisées par trois, la capacité
nucléaire étant ramenée à zéro. Le 7 janvier 2013 : Comme
contribution au débat national sur l'énergie,
après Avec le
nucléaire, le livre Moins de CO2 pour pas trop
cher - propositions pour une politique de l'énergie va
être publié dans quelques jours (autour du 15 janvier). Il
est accompagné sur ce site d'une page de
commentaires, de compléments, avec la table des matières. Le 3 janvier 2013 : En
décembre 2012, EDF annonce que le coût de l'EPR de
Flamanville ne sera pas de 6 milliards d'euros mais de 8,5 milliards !
Une paille ! Pour voir l'effet du coût du réacteur
sur le coût de production d'électricité, un tableur
permet à qui le veut de calculer
le coût de production après avoir introduit ses propres
hypothèses non seulement sur le montant initial de
l'investissement mais aussi sur le coût du
démantèlement, sur le coût du financement, etc.
Bien sûr, si l'électricité nucléaire
coûte 70 €/MWh au lieu de 60 €/MWh (ce que j'ai calculé
pour Avec le nucléaire
et pour Moins de CO2 pour pas trop
cher), le coût d'un programme de diminution de la
capacité nucléaire diminuera quelque peu. Mais il restera
considérable. Plus de 25 milliards par an au lieu de 35. Le 26 décembre 2012 : Pour calculer les dépenses dans le logement
existant, un nouveau tableur permet de traiter
spécifiquement le cas des pompes
à chaleur. La logique économique d'une pompe
à chaleur est en effet différente de celle de l'isolation
car elle permet de diminuer la quantité d'énergie
"finale" (celle que l'on paie) sans diminuer la quantité
d'énergie utile (celle qui sert à chauffer). Elle permet
ainsi d'éviter des dépenses d'isolation thermique lorsque
celles-ci deviennent trop onéreuses. Le 11 décembre 2012 : J'annonce en page d'accueil la parution prochaine d'un livre :
"moins de CO2 pour pas trop cher - propositions pour une politique
publique" chez L'Harmattan. On y fait des propositions
très concrètes de politique de l'énergie en
répondant aux critiques que ces propositions ont parfois
soulevées : se donner comme objectif de limiter la consommtion
d'énergie fossile, non pas la consommationd 'éenrgie,
fixer un critère de coût maximum indépendant du
prix du pétrole, créer un impôt qui
élève progressivement le prix à la consommation
finale, mettre en place des moyens de financement à la fois
efficaces et évitant les effets d'aubaine, etc. On s'appuie pour
cela sur les tableaux de ressources et emplois d'énergie
exposés dans Avec le
nucléaire (Seuil). On y rappelle la façon
de calculer le coût du "moins de nucléaire" : des dizaines
de milliards d'euros par an. Le 16 novembre 2012 : trois commentaires
parus dans la presse : Alternatives économiques, les Echos,
l'Humanité, avec une brève réplique. Et aussi la
présentation parue dans
Esprit, qui a été ajoutée un peu plus tard - elle
aussi est très favorable mais il est dommage qu'elle me reproche
de voir dans le nucléaire une alternative à la
sobriété alors que j'avais anticipé cette remarque
pour la réfuter. Le 29 août 2012 : Sur la page relative à Avec le nucléaire a
été ajouté un
commentaire sur les tableaux ressources-emplois d'énergie
(avec une augmentation de la capacité nucléaire, il y a
autant d'énergie renouvelable que nucléaire) et sur la
façon dont est calculé le coût de la stabilisation
ou de la réduction de la capacité nucléaire. On
trouvera aussi le texte d'un article
paru dans le Figaro du 28 juillet sur les véhicules hybrides et
électriques. Le 24 avril 2012 : L'annonce
sur la page d'accueil de la prochaine parution de Avec le nucléaire - un choix
raisonné et responsable - Seuil ; sortie prévue
le 7 juin. Le 13 mars 2012 : Dans "moins de CO2 pour pas trop cher", le tableau de production et consommation d'énergie de 2009 a été remplacé par le même pour 2010, dressé à la lecture du "bilan énergétique pour la France" du ministère de l'écologie et du développement durable. Le 15 janvier 2012 : est
mis sur le site un texte complet : "moins de CO2 pour pas trop cher -
propositions pour une politique de l'énergie." Le 11 janvier 2012 : Une
feuille de calcul permet d'avoir une idée du coût des
économies d'énergie ou de la tonne de CO2
évitée dans le bâtiment existant par
des travaux
d'isolation thermique ou par un changemet de mode de chauffage. Six
modes de chauffage sont présentés. Cette feuille est soumise à la
sagacité des lecteurs ; il peut s'y trouver des erreurs
(malgré tout le soin qui y fut apporté, bien sûr !).
Les conclusions - provisoire, donc - sont assez savoureuses : si l'Etat
limite la quantité d'énergie, le gaz passe devant ;
si l'Etat limite la quantité d'émissions ou si la
régulation passe par une taxe qui élève le prix du
fioul et du gaz, le gaz passe derrière : il coûte plus
cher et il émet plus. Le 22 décembre 2011 : Après
la conférence de Durban, il apparaît de plus en plus
nécessair de partir des besoins des pays en
développement. Or en 2009 j'ai travaillé pendant un an
sur la politique de l'énergie du Vietnam, dans le cadre
d'un protocole de coopération institutionnelle entre la France
et le Vietnam. On peut consulter ici la
synthèse de ces travaux ou un résumé de cette
synthèse. Il est très intéressant de voir dans
quelles limites un pays en pleine croissance peut contenir ses
émissions de CO2. Le 6 décembre 2011 : On
nous parle beaucoup trop dans la presse et dans les dicsours officiels
des créations d'emplois prétendument suscitées par
la production d'électricité renouvelable. C'est une
blaque ! Comme cela est
démontré ici, les éoliennes et le
photovoltaïque détruiront des emplois ou, ce qui revient au
même, empêcheront de financer des emplois dont notre
société à grand besoin : enseignants, assistants
sociaux, chercheurs, policiers, etc. Le 6 novembre 2011 : Un
article publié par la Revue de l'énergie d'octobre 2011
donne une évaluation de ce que que coûterait le refus
d'augmenter la capacité de production
d'électricité nucléaire. Sur ce site, on verra les tableaux de ressources et d'emplois
d'énergie qui me permettent de faire cette
évaluation. On peut aussi se référer à
l'article :"qui ne veut pas d'une
augmentatoin de la capacité nucléaire, des convergences
remarquables". D'autre part, l'augmentation du coût de
l'électricité (les difficultés de construction de
l'EPR et les suites de l'accident de Fukushima) conduisent à
revoir à la hausse le critère de coût maximum des
actions utiles pour diminuer les émissions de CO2 : 1,8
€/litre à la pompe, 1400 €/m3 de fioul TTC, 140 €/MWh de gaz
(abonnement compris) TTC. Le
critère de coût s'énonce ainsi : une action
utile est une action qui serait économiquement
intéressante si le prix de l'énergie fossile était
à ce niveau. Ce niveau ne dépend pas du prix du
pétrole. Le 19 septembre 2011 : Dans
un article paru dans le Figaro
le 19 août, je montre que si la France
renonçait à la moitié des capacité
éoliennes et phtovoltaïques prévues pour 2020 par le
Grenelle de l'environnement, elle séconomiseriat des milliards
d'euros par an, pouvant servir à éradiquer le SIDA
(évitant des milions de morts) ou, plus près de nous,
à créer des dizaines de milliers de postes d'enseignants,
de chercheurs, d'éducateurs ou de policiers. Par
ailleurs le
RTE a publié un bilan prévisionnel
de l'électricité qui prend comme hypothèse que la
capacité nucléaire
n'augmentera pas d'ici 20 ans et que la capacité éolienne
et photovoltaïque
augmentera beaucoup. Un article est en préparation qui montrera
ce que de telles hypothèses nous coûteraient en
emplois utiles, en émissions de CO2, en milliards d'euros et en
perte de liberté individuelle. Le 23 juin 2011 : Le
11 mars, l'accident de Fukushima fut un coût de tonnerre. Trois
mois plus tard, on se rend compte que les conséquences
sanitaires seront très limitées. Par contre des milliers
de personnes sont éloignées de chez elles et ne savent
pas quand elles pourront retrouver leur logement et leurs terres. Cet
accident ne remet aucunement en question les possibilités
techniques et économiques de production et de consommation
d'électricité en France. Mais on cherchera sans doute
à diminuer les besoins d'électricité
nucléaire. Le scénario de
référence a été revu
pour aller dans ce sens tout en conservant la même ligne
directrice (rechercher le moindre coût et ne pas exiger des
changements de comportement inutilement coûteux). La production
de biocarburant sera moins importante, pour consommer moins
d'électricité.
L'augmentation de capacité nucléaire prévue dans
ce scénario correspond à un remplacement un pour un des
réacteurs existants par des réacteurs EPR plus puissants.
Il est toujours possible d'établir son
scénario avec ses propres hypothèses.
Le 3 mars 2011 : dans
la liste des erreurs courantes, on
en a ajouté une : "se féliciter de la hausse du prix
mondial du pétrole, au motif qu'elle nous incitera à
diminuer nos émissions". C'est une énorme erreur ; c'est
considérer que notre pays (Etat et citoyens) est incapable de se
prendre en main. Par ailleurs, on ajoute une
référence à l'article, paru dans la Revue
parlementaire
:
"Il serait possible d'avoir une
politique de l'énergie claire
et peu coûteuse". Le 2 mars 2011 : voici
près de sept ans que ce site a été ouvert et mis
à jour régulièrement. Il en devenait un peu
confus. Une table qui présente
de façon ordonnée les documents de ce site permet de
s'y retrouver. La page "comment convaincre"
a été refondue avec celle qui va avec, sur les avantages externes, qu'il faut
considérer avec réalisme. Par ailleurs, on trouvera des
commentaires sur deux livres climato-sceptiques récents de B.Rittaud et C. Gérondeau et sur un long
article de H. Atlan paru dans le
Monde. Se trouvent donc sur ce site huit commentaires, quatre de
climato-sceptiques et quatre d'alarmistes dont plusieurs sont
anti-nucléaires - in medio
stat virtus - n'est-ce pas ? Le 3 décembre 2010 : voici
enfin une note sur "le coût du
réacteur nucléaire évité". On se
demandait ce qui pouvait expliquer les décisions les plus
coûteuses du Grenelle de l'environnement : des décisions
qui visent à diminuer la consommation d'énergie sans
diminuer les émissions de CO2. Je me doutais bien que
c'était pour ne pas augmenter la capacité
nucléaire. Cela m'a été confirmé par une
remarque entendue dans un colloque : un antinulcéaire faisait
état de la "paix des braves" conclue au moment du Grenelle entre
antinucléaires et gouvernement (ou au moins le ministre
chargé de l'environnement) pour figer la situation sur le
nucléaire. Fort bien ! Il était donc judicieux de
calculer le coût du réacteur EPR évité par
les décisions de Grenelle : éolien, photovoltaïque
et réglementation thermique. On arrive à un surcoût
de 1 à 4 milliards d'euros par an et par réacteur
nucléaire évité. Une paille ! Le 17 octobre 2010 Le 24- 28 septembre 2010 : Le 7 juillet 2010 Le 3 juin 2010 Le 21
février 2010 Le 16 janvier 2010 Le 15 janvier 2010 Le 6 janvier 2010 Le 4
janvier 2010 Le 10 décembre 2009 Le 8 décembre 2009 Le 9 septembre 2009 Le 27 décembre 2008 Le 9 novembre 2008 Le 22 octobre 2008 Le
4 octobre 2008 Le
6
août 2008 Le 2
juin 2008 Le 22
décembre 2007 Le 6
février 2007 Le 18
janvier 2007 Le 8
janvier 2007 Le 25
novembre 2006 Le 20
novembre 2006 Le 10
octobre 2006 Le 22
Août 2006 Le
10
mai 2006 Le 23
avril 2006 Le 15
février 2006 Le 5
février 2006 12
décembre 2005 24
octobre 2005 20
octobre 2005 14
octobre 2005
13
octobre 2005 8 juillet 2005 16 juin 2005 3 juin 2005 24 avril 2005 23 mars 2005 21 mars 2005 10 mars 2005 28 février 2005 10 février 2005 22 janvier 2005 17 janvier 2005 10 janvier 2005 9 janvier 2005 6 janvier 2005 2 janvier 2005 31 décembre
2004 28 décembre
2004 27 décembre
2004 22 décembre
2004 17 décembre
2004
: 14 novembre
2004 :
une feuille sur "La France,
l'Europe, le
monde" 13 novembre 2004 : une note de réflexion sur la fiscalité de l'énergie, pour atteindre un objectif de division par trois des émissions : il y a taxe et taxe. 2 novembre 2004 : un complément sur le technique de production de biocarburant : la voie biologique 30 octobre 2004 : on a modifié le texte sur les "coopérations renforcées" (merci au lecteur qui m'a donné de bonnes informations) 28 octobre 2004 : on a regroupé ce qui a trait au biocarburant et l'on a indiqué les hypothèses de calcul ; on a apporté une modification et des précisions au sujet de l'impact des aides à l'agriculture sur le coût de production du biocarburant. On indique l'adresse d'un site internet du ministère de l'industrie très riche en données sur l'énergie. 24 octobre 2004: introduction d'un fichier sur la méthode que nous avons utilisée pour dire quel devrait être le niveau du prix de l'énergie pour pouvoir diviser les émissions par trois 20 octobre 2004 : introduction
d'une page actualités
avec : la ratification du protocole de Kyoto par la Russie, la hausse
du
prix du pétrole, l'effet sur la valeur des quotas
d'émission
et les questions que cela pose (ce sujet est désormais
traité ici )
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